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François Ier, par l'ordonnance de Villers-Cotterêts en août 1539,
demande aux curés de tenir à jour un journal sur lequel sera établi les actes de baptêmes.
Toutes ces ordonnances n'ont pas empêchés certains curés de faire du "zèle" et de tenir à jour de tels registres bien avant le XVI ème siècle. Malheureusement, de telles initiatives n'étaient pas forcément suivies par leur successeur et leur contenu non soumis à des règles fixes. Ainsi, on trouvera parfois dans ces registres, des actes du style : " En ce jour, 13 avril 1642, j'ai donné les derniers sacrement à Germain, âgé de 70 ans environ." : c'est bien pauvre en renseignements ! Autre souci, à l'inverse des actes d'état-civil, aucune table annuelle ou décennale n'existe pour les actes paroissiaux. Vous trouverez ces actes aux Archives Départementales, en même série que les actes d'état-civil. |
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Nos ancêtres étaient en général des gens très croyants et, comme la mortalité chez les
nourrissons n'était pas rare, ils s'empressaient de baptiser leur enfant, bien souvent le lendemain ou dans les
deux ou trois jours suivant l'accouchement. Cette mortalité était telle que même les sage-femmes avaient autorité
pour baptiser l'enfant dés sa venue au monde si celui-ci ne semblait pas en grande forme.
Quels renseignements peut-on y trouver ?
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Leur contenu est très variable suivant les époques et les régions mais en règle générale on y trouve : |
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C'est le moins intéressant des trois. Vous y trouverez : |
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