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Votre cours de généalogie acte XXXIV, scène LXI, chapitre CLXXVII (tant que çà ?)
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Le gros problème est de n'oubliez personne et donc de trouver tous les enfants d'un couple sans
exception. Dites vous bien qu'un individu du XVIème ou XVIIème siècle peut être le fondateur d'une lignée comprenant
plusieurs centaines d'individus aujourd'hui et que si vous l'oubliez, c'est autant d'individus en moins dans l'arbre
que vous êtes en train de dessiner.
Il vous faut donc éplucher tous les registres de A jusqu'à Z et répertorier tous les porteurs du nom depuis
l'année de mariage (sauf grosse bêtise de la part de jeunes gens un peu trop amoureux, il était très rare dans le passé qu'un couple ait
des enfants avant de se marier) jusqu'à l'âge où la femme ne peut plus avoir d'enfants !
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Les contrats de mariages sont encore plus utiles en généalogie descendante qu'en généalogie ascendante. Il vous permet d'avoir un instantané de la famille des mariés assez précis, en énumérant toutes les personnes présentes (généralement assez nombreuses) au moment de la signature du contrat et avec leur lien de parenté avec les mariés. Voir au chapitre Les archives notariales pour plus d'informations. |
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Autre document intéressant : le testament.
En ce qui concerne l'inventaire après décès les choses sont quelques peu inversées par rapport au testament. Le défunt n'ayant pas fait de
testament, la famille demande au notaire d'établir un inventaire pour répertorier toutes ses possessions en vue d'un partage équitable entre les héritiers.
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